ECONOMIE ET PSYCHOLOGIE
                                                 08-11-2017
Les deux notions dépendent directement l'une de l'autre.
L'économie fait partie de la philosophie depuis plusieurs millénaires pour comprendre le fonctionnement du processus.

Les premieres considérations mises à la disposition du public, furent écrites au XVIII siècle par un 'trader' du nom de RICARDO. Les principaux changements au cours des siècles suivants sont présentés dans les videos accessibles à partir de cette page.

Les bases de départ de la théorie économique mise en œuvre dans l'organisation des " marchés d'échanges " dans le monde , qui existe à l'heure actuelle au siècle XXI, sont présentées dans ce discours.

Les trois principes qui constituent la théorie économique développée au début du XVIII ème siècle sont : la PROPRIÉTÉ , les FONDS (en valeur monnaie) , les TRAVAILLEURS .

Ces mots désignent des notions de nature différente, qui n'ont aucune relation concrète entre elles.

Dans la réalité elles correspondent aux éléments qui servent au COMMERCE , qui existent dans les ACTIVITÉS Humaines, depuis des millénaires, entre des Humains qui vivent à des milliers de kilomètres les uns des autres.

Le  modèle économique proposé pour le commerce entre les Humains dans la société :  les échanges des aliments et des produits sont effectués sur un MARCHÉ , par des négociations selon les " avantages comparatifs ".

Les députés Ricardo et Malthus ont fait voter les lois, par la Chambre des Députés du pays Angleterre, de  "liberté de circulation" des denrées , des travailleurs et des fonds, pour permettre la régulation des quantités de production et des prix de ventes des denrées aux consommateurs et des intermédiaires, sur les différents marchés.

Ces messieurs ont fait voter une loi pour que l' "ETAT du pays" n'intervienne pas par des réglementations, de manière à laisser le marché réguler les flux pour atteindre l' équilibre.

Cet équilibre n'a pas été atteint du fait des nouveaux produits, des nouvelles machines, des nouveaux besoins, et de la psychologie des acteurs décisionnels, qui sont, en petit pourcentage, avides, dominants, expansifs, non égalitaires, etc... , et des consommateurs , ignorants du fonctionnement décrit ici, qui font confiance à leurs commerçants.

La solution est de vendre à des populations externes au pays, quelquefois lointaines.
L' Empire britannique s'est constitué pour satisfaire les besoins psychologiques des dirigeans.

L'argument du " libre échange " donné par le pouvoir des pays dominants aux pays qui veulent évoluer, consiste à leur demander l'ouverture de leur marché économique pour obtenir un prêt de monnaie scripturale pour participer au commerce mondial, avec l'encouragement verbal d'augmenter la 'richesse du pays'.

Selon le principe " le capital " , base de l'économie mondiale, l'argent monnaie qui constitue la réalité locale du capital, permettrait, par les investissements associés au travail produit par des Humains, que ceux-ci obtiennent le " BONHEUR ".

Parler avec un vocabulaire abstrait ne permet pas à un Humain normal de comprendre ce que cela veut dire. Chacun de ceux-ci possède une idée dans sa conscience de la signification de la notion associée, dans le cas où cette notion est apparue dans sa conscience.
C'est du niveau d'abstraction utilisé par les religions qui conditionnent les Humains dans l'existence d'un être qui aurait créé l'Univers.

Cette situation, générale dans l' Esprit de tous les Humains, permet de les faire réver à ce qui arrivera après la mort, dans le but de leur faire faire la pire des actions humaines possible :  ' tuer un autre Humain ' .

En aucune façon cela constitue un BUT pour un Humain qui veut vivre sa vie positivement selon les valeurs humaines cybernétiques.

Au cours des deux précédents siècles, l'organisation mondiale du commerce s'est amplifiée pour influencer les politiques des pays occidentaux selon le CAPITALISME  et le SOCIALISME , qui comprennent chacune plusieurs partis politiques, qui ont des députés dans les organismes représentatifs des citoyens.

Les conséquences de cette organisation est l' ESCLAVAGE des travailleurs, qui constituent la troisième catégories d'Humains, base du 'principe économique' de Ricardo, constitué des 3 éléments : la propriété, le capital, et les travailleurs.

Compte tenu du fonctionnement de l'organanisation mondiale du commerce, les économistes spécialistes ont inventé de nouveaux mots : 'capital fictif', 'capital destructif', 'capital innovant', 'dette', taux de croissance, innovation destructrice, PIB, etc... pour analyser le phénomène des échanges entre humains et groupes d'Humains situés dans les bureaux de grandes entreprises, qui se réalisent chaque jour.

L'ensemble de tous ces mots constitue le vocabulaire pour parler du phénomène dont on parle dans ce discours.

Dans la réalité plus de 70 % des Humains sont dans la catégorie 'travailleurs', qui sont payés juste assez pour vivre au quotidien.
Tous les Humains ont des sentiments qui se répartissent dans des catégories connues : jalousie, envie, liberté, solidarité, égalité, fraternité, ambition, frime, domination, satirisme, cruauté, etc...

Les améliorations successives des moyens de diffusion des informations et des connaissances, associées au renforcement dans l'Esprit des spectateurs par les discours des orateurs dans les meetings.

Ces constats permettent de comprendre les révoltes des travailleurs et des pauvres qui ont produit des révolutions politiques.
L'organisation des marchés et du commerce antérieure existante a continué son existence en produisant de plus en plus de suicides par l'appropriation des semences, et autres marchandises génétiquement transformées.
Les lois qui punissent les personnes qui ne peuvent pas rembourser un crédit fournit par un organisme préteur, celles-ci perdent la propriété de leur terre au profit de l'organisme préteur.
Ainsi le "capital" devient propriétaire.

Les améliorations successives apportées par les Humains spécialistes du " modèle capitaliste ", ont transformé celui-ci en FINANCES , qui  ont permis de spéculer , qui au cours des années est devenue de plus en plus grande, avec une amplitude de 48 % dans un pays en développement,  appelé INDE, d'une population de plusieurs centaines de millions d'habitants .

En conséquence la ' FINANCE MONDIALE ', par l'intermédiaire d'organismes mondiaux élitistes, gouverne le monde, que les Humains politiques gèrent.

Environ 80 % des Humains ne connaissent pas les missions de ces organismes, connus seulement par leur sigle, souvent utilisés par les diffuseurs d'informations générales de la vie du Monde entier.

Les videos montrent deux catégories de personnes : les dirigeants des organismes de 'pouvoir' qui favorisent et enseignent le modèle capitaliste existant, malgré les grandes crises financières qui appauvrissent les travailleurs, en contradiction des constatations des spécialistes et chercheurs en science économique, qui constatent la non régulation dans la réalité des marchés, la non limite des transferts de capitaux et de leur montants, l'augmentation du différentiel de pauvreté entre classes sociales, le fonctionnement de l'esclavagisme des travailleurs, caractérisé par les bureaux de l'institution ' pôle amploi ' pour que ceux-ci trouvent un emploi.

Les théoritiens du modèle économique mondiale actuel inventent de nouveaux mots, qui désignent des notions inconnues telles que : capital destructif, capital virtuel, la dette, la dette virtuel, etc...

La démarche de la constitution du modèle économique actuel est " montante ", par le fait que les principes de départ correspondent  à l'organisation de la société, qui a une organisation royaliste avec les nobles 'propritaires', les bourgeois , et les autres du peuple, qui travaillent comme serviteurs pour les autres.

La façon de penser est l'inverse de la façon de penser cybernetique, explicitée dans ce discours.

La façon de penser cybernetique se caractérise par la cogitation pour définir le but , les moyens de réaliser ce but, avec évalution des avantages plus grands que les désavantages pour convaincre l'intérêt pour tous de réaliser ce but.

L'auteur décrit une organisation qui satisfait les contraintes ci-dessus.

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