PROJAMME  2

15-08-2017
L'image montre deux anneaux satellisés autour de la Terre pour prouver que c'est possible, par le fait que notre imaginaire est capable de fabriquer des images dans notre Esprit d'Humain, qui est lui-même notre RÉALITÉ.

Le lecteur connait les principales possibilités d'un anneau-sat placé, obligatoirement, dans le plan de l'orbite terrestre, pour éliminer les déchets nucléaires. Il doit être à l'extérieur de tout autre appareil satellisé, pour annuler tout choc d'un bloc lancé pour être attiré par le champ gravitationnel du Soleil.

Cette contrainte est associée à celle de la vie des Humains, qui vivent dans l'anneau-satext ( appelé ainsi pour le différencier des autres ), pour réaliser toutes les tâches utiles au fonctionnement de l'anneau-satext et satisfaires les besoins de leur vie quotidienne.
Celle-ci devra se faire dans un champ de pesanteur équivalent à celui qui existe sur la terre, pour que ses reflexes, ses mouvements musculaires soient aussi forts et rapides que ceux qui sont pratiqués sur la Terre, pour permettre de gérer la fatigue et sa récupération.

L'image montre un anneau interne à l'anneau-satext.

Chaque anneau doit être considéré comme un 'outil', nécessaire à réaliser la fonction PRINCIPALE  des HUMAINS : EXPANSION .

Ce potentiel énergétique existant , psychologiquement, dans chaque Humain, doit être pris comme sa FINALITE  ULTIME .

Des études associées à des simulations informatiques permettront de déterminer la configuration complète, qui sera réalisée en plusieurs fois .

Le lecteur a compris que toute l'énergie nécessaire aux lancements des dizaines de milliers de fusées porteuses, sera produite sur Terre, puis transmise aux engins lanceurs de masses vers les anneaux-sat. Cette énergie sera l' électricité, du fait de l'utilisation momentanée de l'énergie nucléaire.

L'énergie ne sera pas produite par la combustion d'un carburant, qui comsomme de l'oxygène et produit du CO2, avec des microparticules et de nombreux produits collatéraux plus ou moins toxiques sur une longue période de temps.

L'idée, à développer, a été émise par l'auteur et présentée dans la magasine scientifique ' FUSION ' , dans un article du n° 79 de janvier-février 2000, à la page 58.

La machine lanceuse de la masse à satelliser, est montée au sommet d'une haute montagne. Elle est poussée pour descendre le long d'une pente à -80° pour que son axe de vol soit dévié dans la vallée par un rail circulaire, pour être remonté à + 60°ou plus, puis être poussée le long de la pente vers le sommet de la  montagne, la plus haute possible, située en face de la montagne de départ.

L'augmentation de vitesse en montant, est produite par un fort champ magnétique agissant sur le chariot porteur de la fusée à satelliser.
Les champs magnétiques appropriés sont produits par des usines nucléaires situées à coté du rail, associées ou non avec des batteries, pour produire les impulsions magnétiques aux endroits idoines, d'une durée de quelques millisecondes, au moment du passage du chariot.
Ces champs magnétiques servent à soutenir le chariot à quelques centimètres du rail, tandis que d'autres poussent le chariot à grande vitesse à l'opposé de la force gravitationnelle.

Le chariot roule avec des roues, sur le rail, lors de la descente dans la vallée, pour supporter l'accélération importante produite par la courbure du rail pour obtenir une accélération vers le haut. Lorsque le vecteur accélération atteint une trentaine de degrés, la sustentation magnétique est mise en oeuvre , à laquelle s'ajoute la poussée magnétique pour augmenter la vitesse du chariot juqu'à une altitude la plus haute possible, pour atteindre 1,5 km/seconde, ou deux, soit environ 5400 km/heure.
Ces impulsions électriques seront de plusieurs dizaines de milliers d'ampères, durant quelques dixièmes de secondes en fin de lancement, en synchronisme de la vitesse de passage devant les électroaimants.

Un calcul simple a permis d'évaluer la vitesse de sortie de la fusée entre 1,5 et 2 km/s à 5500 mètres d'altitude ou plus, pour un angle d'environ +65° .

L'augmentation de vitesse pour rejoindre l'anneau de destination sera faite par des moteurs équivalents à ceux qui existent actuellement.

Le nombre de base de lancement que l'on peut prévoir en 2017, est de l'ordre de 200. Avec 10 lancements par jour, le nombre de tonnes satellisées vers l'anneau-1 est de 350 x 10 x 200 x 1 tonne, soient 700 000 tonnes par an.

Cette réalisation sera produite par l'ensemble des Humains au cours des siècles. Pour 99,9 % des Humains qui vivent en 2017, leur pensée sera l'impossibilité de faire ce travail .
Un très petit pourcentage pense que cela se réalisera dans le FUTUR .

L'importance du FUTUR pour l' Humanity est visible sur ces projammes décrits dans ce discours.
Ce discours satisfait les contraintes du champ d'énergie qui nous enveloppe, en nous obligeant d'AGIR .

L'étude philosophique du mot AGIR  aboutit à la connaissance du processus cybernétique.

FONCTIONNEMENT

Vitesse circulaire
L' anneau-sat tourne autour du centre de la Terre avec une vitesse assez grande pour reconstituer un petit champ d'accelération, dans le but de tendre la structure de l'anneau, pour permettre de réaliser les travaux à faire par les Humains.

Pour maintenir la vitesse constante, le moyen consiste a faire circuler une masse roulante sur la surface  située à intérieure de l'anneau-sat, qui est dirigée vers la Terre. L'énergie est produite par un moteur électrique, alimenté par des panneaux solaires, qui produisent l' électricité à partir du rayonnement solaire.
La vitesse des masses roulantes est opposée à celle de l'anneau-sat. La transmission de l'énergie s'effectue soit par des chocs successifs en de nombreux endroits répartis le long de l'anneau-sat, soit par un frottement résistant.

Un anneau-sat est utilisé pour lancer des masses vers l' autre anneau-sat plus loin que lui de la Terre.
Le moyen consiste en un rail sur la face externe de l'anneau-sat, sur lequel roule un chariot magnétique qui augmente sa vitesse jusqu'à la bonne vitesse tangentielle pour atteindre le ou les anneaux-sat qui existent à une plus grande distance de la Terre.
La vitesse du chariot est dans le sens de rotation de l'anneau-sat pour additionner sa vitesse tangentielle.

Le moteur magnétique est alimenté par l'électricité produite par des panneaux qui captent le rayonnement solaire.

Lorsque la masse fixée sur le chariot arrive à la vitesse d'éjection pour le lancement, un vérin pousse la masse à l'extérieur du chariot en le libérant dans l'espace dirigé vers l'exterieur ou vers le soleil. Le chariot ralentit pour rejoindre une base de chargement qui existe sur le pourtour de l'anneau-sat. 

Un rail à la surface interne permettra d'envoyer matériels et Humains vers les anneaux-sat internes, puis vers la Terre.

Le masse suit la trajectoire dans l'espace, prévue par la mission, par le pilotage semi-automatique, en déclenchant les fusées idoines. La masse est captée par la base de reception de l'anneau-sat receveur.

Par le transfert des masses d'un anneaux-sat au suivant, les masses arriveront à celui pour lequel la masse est prévue, en particulier pour la maintenance. 

La construction de l'anneau-satext sera réalisée par ce moyen de transport en étages.

A ce point de l'avant-projet la date de fin n'est pas connaissable. 
La connaissance de la date de fin n'a aucun intérêt. La durée du projamme pourra être cent ou deux cents ans, en fonction de la solution des problèmes politiques qui existent actuellement, entre les nombreux pays, qui ont des connaisances et des cultures différentes , mais surtout des  valeurs humaines différentes, preuves d'ignorance de la réponse à la question : pourquoi faire les humains vivent-ils sur la Terre ?


La seule préoccupation de chaque participant à la réalisation du projamme sera de RÉUSSIR les TÂCHES SANS ERREUR pour atteindre le but commun pour satisfaire à la FINALITÉ  COSMIQUE.

La principale contrainte de l'anneau-satext est d'avoir son orbite autour de la Terre, dans le plan de l'orbite de celle-ci, dans le même sens, de manière que le lancement des blocs déchets nucléaires  puissent s'effectuer à une vitesse de 0 m/s par rapport au Soleil, sur une orbite tangente.
Le bloc sera attiré par la gravitation du Soleil pour atteindre sa surface en 4 semaines.

Des appareils de recherche pourront être lancés à partir d'endroits différents pour réaliser des missions. La vitesse de départ sera celle de la vitesse tangentielle.

Résultat obtenu par une simulation informatique.

L'anneau-satext permettra le lancement du bloc de déchets à l'aide d'un chariot, qui est poussé par une force magnétique pour atteindre la vitesse tangentielle de la Terre sur son orbite, égale à 30 km/s en moyenne, dans le sens opposé.

 

L'image montre 2 anneaux-sat avec l'un d'eux incliné.
La simulation permettra de déterminer la configuration du nombre d'anneaux-sat intermédiaires pour permettre la construction puis l'utilisation de l'anneau-satext pour réaliser ses missions.

L'optimum de la vitesse tangentielle de l' anneau-satext est d'environ 25 km/s pour être en permanence en dessous de la plus petite vitesse de la Terre sur son orbite.
La formule indiquée fournit le rayon de l'anneau-sat de 64 000 km pour une pesanteur de 9,8 m/s2, elle-même variable le long de sa circonférence.

Le résultat du calcul fournit une distance moyenne à la surface de la Terre de 57500 km environ.

Ces valeurs permettent de déterminer la configuration nécessaire des différents anneaux-sat pour exécuter la mission initialement définie.

Nous savons QUOI FAIRE, NOUS DEVONS LE FAIRE, NOUS LE FERONS .


vers : PROJAMME 1

vers : CONSTRUIRE HUMANITY